Internet, Jeux vidéo, téléphones portables : tous accros ?
Télévision, mais aussi de plus en plus, consoles de jeux vidéo, téléphones portable et ordinateurs : nos enfants sont devenus poly-consommateurs d’écrans. Ils y consacrent la quasi-totalité de leur temps libre, de 6 à 8 heures par jour… (*)
Exaspérés, inquiets ou complètement perdus face à ces comportements, les parents renoncent souvent à leur poser des limites.
Plus leur enfant grandit, plus il utilise des technologies compliquées et plus le fossé de génération, devenu “numérique” se creuse. Parents et grands-parents se retrouvent exclus des modes de communication des plus jeunes (SMS, chats, réseaux sociaux sur internet…).
Plus inquiétant encore, ils se retrouvent vite dans l’impossibilité de contrôler des contenus en libre-accès (violence, pornographie, etc.…).
En compagnie de Charline Roux et de leurs invités, Marcel Rufo répondra concrètement aux questions que se posent aujourd’hui tous les parents. En particulier :
- La surconsommation de multimédias influence-t-elle le développement et le comportement de nos enfants ?
- Comment leur poser des limites ?
- Comment garder le contrôle sur les contenus et échanges auxquels ils ont accès ?
-A partir de quand parle-t-on de dépendance ?
Tout au long de l’émission, parents, enfants et adolescents viendront partager leur expérience sur le plateau ou à travers la libre-antenne.
http://programmes.france3.fr/le-mieux-c-est-d-en-parler
Sommes-nous tous des menteurs ?
Omissions, contre-vérités, déformations, affabulations : les rapports humains sont truffés de petits ou grands mensonges, dits volontairement ou inconsciemment. Selon une étude américaine, chaque individu mentirait même en moyenne 2 fois par jour !
Pour ne pas blesser, pour éviter un conflit ou tout simplement pour donner une bonne image de soi, le mensonge n’est jamais anodin. Il serait même parfois nécessaire. Ainsi, Nietzsche disait : « Quiconque ne sait pas mentir ne sait pas ce qu’est la vérité ».
Heureusement, ces petits « arrangements » avec la vérité sont la plupart du temps sans conséquences. Mais quand mentir devient une seconde nature, la pathologie n’est pas loin et porte un nom : la mythomanie. Le mythomane croit en ses mensonges, vit en dehors de la réalité et fait même des victimes.
- A quoi sert le mensonge ?
- Faut-il s’inquiéter des mensonges des petits enfants ? Comment se comporter face à une adolescent menteur ?
- Pourquoi certaines personnes mentent-elles plus que d’autres ?
- Dans quel cas mentir peut révéler un trouble de la personnalité ?
Autant de questions auxquelles répondra Marcel Rufo, en compagnie de Charline Roux et de leurs invités.
Comment se remettre d'une enfance maltraitée ?
Chaque année en France, 19 000 enfants sont signalés pour maltraitance et 98 000 sont considérés comme "en danger".
Violences physiques, sexuelles, psychologiques ou encore négligences lourdes : la grande majorité des sévices sont subis au sein de la famille ou de l'entourage proche.
Pour cette nouvelle émission consacrée au devenir des enfants maltraités, Marcel Rufo et Charline Roux recueilleront le témoignage d'enfants et d'adultes qui ont pu trouver auprès d'une famille d'accueil ou de grands-parents assez d'amour et d'attention pour surmonter ce traumatisme.
Marcel Rufo expliquera comment on devient parent quand on a été soi-même un enfant maltraité. En s'élevant contre l'idée reçue de la répétition systématique des mauvais traitements de génération en génération au sein d'une même famille.
- Où commence la maltraitance ?
- Pourquoi l'entourage met-il parfois tant de temps à réagir ?
Comment se remettre d’un chagrin d’amour ?
Une rupture sentimentale meurtrit, à tout âge de la vie. Lorsque l’on est adulte, parfois même déjà parent, croire en l’amour et le perdre provoque un traumatisme dont il est difficile de se remettre. Certains, 10, 20 ou 30 ans après n’ont toujours pas oublié leur 1ère grande histoire.
A l’adolescence, ce premier grand amour peut être le plus dévastateur. A l’âge où l’amour et l’amitié passent avant tout, où l’on croit à un amour qui ne finit jamais, la déception amoureuse fait figure de drame. Comme en 2005, lorsqu’une adolescente du Nord de la France, se suicide, après avoir décrit sur son blog, son désespoir d’avoir été quittée.
Or, les ados sont pudiques, mutiques, surtout lorsqu’ils sont en proie à un chagrin d’amour. Perte de confiance en soi, sentiment d’abandon, impression de ne pas être digne d’être aimé : les parents sont perdus, inquiets, parfois maladroits. Pourtant, c’est au travers de ces petits séismes personnels que les ados se construisent.
- Comment aider son enfant à se remettre d’une 1ère « gifle » sentimentale ? Quelle attitude adopter face à eux ?
- Comment repérer les comportements « normaux » des conduites à risques ?
- Que signifie une incapacité à faire le deuil de ses histoires d’amour ?
• 